Vous avez pu le voir, je n'ai pas écrit de bilan le mois dernier et c'est tout simplement parce que je n'avais pas grand à y mettre. Je reviens donc aujourd'hui pour tracer un peu mon bilan livres/séries/films du mois de janvier.
Ce mois-ci a été assez riche en littérature. Lors de mon séjour à Paris début janvier, j'ai emmené deux livres, Tant que nous sommes vivants d'Anne-Laure Bondoux et Eva de Simon Liberati. Après un peu plus d'une semaine, j'ai fait un petit tour en librairie et je n'ai pas pu m'empêcher d'acheter trois Notabilia, ce qui m'a permis de ne pas tomber en panne de lecture !
J'ai enchaîné avec Spring hope de Sam Savage puis j'ai terminé Lettre à ma fille de Maya Angelou - j'ai prévu de rédiger des avis pour ces livres qui m'ont beaucoup plu ! Et après, comme vous l'avez sans doute déjà vu, j'ai lu Au fond des bois de Karin Slaughter et Ressentiments distingués de Christophe Carlier. Bon, il est vrai que j'ai terminé le mois avec la lecture de Marat-Sade, une pièce de Peter Weiss, mais je ne pense pas que ça vous intéresse particulièrement !
J'ai choisi aujourd'hui de vous donner mon ressenti sur mes deux premières lectures du mois - et donc de l'année !
Voilà un petit bout de temps que je voulais le lire et puis j'ai désespéré de le trouver en poche. Voilà qu'en fin d'année 2016 je m'aperçois qu'il vient de paraître en format poche j'ai Gallimard jeunesse, ni une ni deux, il repart avec moi. Je le mets en avance dans ma valise, je décide qu'il m'accompagnera pour le voyage.
Comment m'expliquer maintenant ? l'entrée dans l'histoire a été plutôt facile, j'ai bien aimé l'ambiance dès le début, le fait qu'on n'ait pas d'éléments comme un lieu prédéfini ou une période historique donnée. Voilà que nous sommes dans une ville qui abrite une usine. Auparavant prospère, cette ville est devenue triste et morose.
On rencontre ensuite Bo et Hama. Celui-ci est un "étranger" il vient du nord de la France, Hama, elle, est un membre à part entière de la ville et ce, depuis toujours. Ils travaillent tous les deux à l'usine, elle de nuit, lui de jour, et ils tombent amoureux.
Bien que ce soit un roman "d'adolescent", on ne tombe pas dans la niaiserie ou quoi, leur affection est réelle et sincère, voilà tout. L'histoire va plus loin également puisqu'un accident se produit et que leur vie s'en trouve radicalement changée.
Sans trop en dévoiler, j'ai été un peu mitigée avec la tournure des évènements, j'ai eu un peu le sentiment que l'irruption fantastique sortait un peu de nulle part. J'ai aimé la part de l'histoire avec les ombres, mais d'un autre côté, j'ai trouvé ça vraiment dommage de n'avoir aucun semblant d'explication quant à ces ombres et tout cet aspect magique dans l'oeuvre.
J'ai énormément aimé tout ce voyage initiatique, le fait que l'on suive ensuite Tsell, que la fin et le début soit si proche, mais j'ai été très déçu quand on a arrêté de suivre Hama et Bo. J'aime énormément ces personnages et j'aurais voulu savoir ce qu'ils devenaient.
Globalement, je dirais que ça a été une bonne lecture, j'ai passé un bon moment avec la plume d'Anne-Laure Bondoux et j'ai aimé me heurter à des questions dures comme l'abandon de la part d'un parent, la question du rejet envers l'étranger, celle de la guerre, de l'identité et aussi - et surtout pour moi parce que ça a été l'aspect que j'ai préféré - celui de l'handicap : que faire lorsque l'on perd un membre de son corps ?
P.S. : je ne regrette pas cette lecture rien que pour la famille qui vit dans une grotte, celle où tous les enfants portent en tant que prénoms, des numéros !
Pour ce livre, ça a été un achat absolument au hasard. Je n'avais jamais entendu parler de Simon Liberati, auteur français et ami de Frederic Beigbeder - je n'ai jamais eu vraiment le temps (ou l'envie?) de découvrir la plume de ce dernier non plus faut dire. Je ne sais plus à quelle occasion, mais j'avais rapidement lu le résumé d'Eva qui m'avait beaucoup intrigué, alors je me suis lancée complètement à l'aveugle.
Une chose est sûre, j'ai bien fait de l'emmener à Paris avec moi. Oui, la plupart du roman se passe dans la capitale et l'auteur est vraiment précis par rapport aux arrondissements, aux rues, aux boutiques. J'ai aimé le sentiment de proximité qui s'est installé grâce au lieu où se passe l'action. Enfin bref.
Eva, c'est un roman sans en être réellement un. Disons que l'auteur a écrit un livre sur sa femme. Bon, faut dire que sa femme n'est pas n'importe qui puisqu'il s'agit d'Eva Ionesco, que je connaissais essentiellement pour avoir entendu parler de son film My little princess (2011) . Il est vrai que j'avais rapidement lu quelque chose par rapport à sa relation avec sa mère, une photographe qui n'a pas hésité à faire poser sa fille nue lorsqu'elle était une enfant - My little princess traite de sa relation plus que tumultueuse avec sa mère.
Ce livre est une ode, une sorte d'hommage sans en être un non plus. Avec du recul, je n'arrive toujours pas à me positionner avec ce livre. J'ai beaucoup aimé certains aspects et d'autres beaucoup moins. Il y a des moments où je me sentais clairement mal à l'aise - je pense par exemple aux moments où Liberati fait allusion à la pédophilie de manière presque indécente je trouve. On peut vouloir écrire un livre subversif si l'on veut, mais là, j'ai trouvé que c'était dans l'excès, une espèce de déballage de clinquant, mais du clinquant cheap.
Sans remettre en cause le talent de l'auteur - certains passages sont merveilleusement bien écrits - j'ai eu le sentiment qu'il tournait un peu en rond. Il nous raconte des évènements sans qu'ils aient une véritable importance, j'entends par là que certains passages de leur relation sont clairement inutiles pour le lecteur ! Sans s'inventer une vie, il s'agit là de savoir raconter quelque chose qui serve, il ne s'agit pas seulement d'écrire sinon tout le monde publierait ses journaux intimes !
Finalement, j'ai été déçu, en grande partie parce que certains passages m'ont ennuyé. Le style de l'auteur qui est agréable ne se dévore pas non plus, en tout cas, personnellement, ce n'est pas le genre de livre que je lis d'une traite.
Et puis surtout, se pose la question : qu'apprend-on d'important sur Eva Ionesco que l'on ne trouve pas par ses propres moyens ?
J'espère avoir rapidement le temps de rattraper mon retard au niveau de mes avis littéraires, mais en attendant n'hésitez pas à jeter un coup d'œil à ceux publiés en janvier :
Le Coin des libraires - #41 Au fond des bois de Karin Slaughter
Le Coin des libraires - #42 Ressentiments distingués de Christophe Carlier
Le mois de janvier a été un peu désert niveau ciné. Je n'ai rien vu si ce n'est le dernier film de Ben Affleck, Live By Night. Je n'aime pas Ben Affleck en tant qu'acteur, je suis désolée mais pour moi il est et sera toujours Daredevil ce qui n'est franchement pas un cadeau... Il n'empêche que c'est la deuxième fois qu'il s'intéresse à une œuvre de Dennis Lehane. Après Gone Baby Gone (2007), voilà qu'il s'attaque à Live By Night (fr. : Ils vivent la nuit).
Je n'ai pas lu le livre et je ne suis pas sûre que je le lirai un jour, mais quand même !
Ce que je peux en dire est que j'ai passé un bon moment. Sans être un film extraordinaire il se regarde très bien et certaines scènes sont très bien pensées, même si je n'ai pas eu l'impression qu'Affleck essayait quelque chose de nouveau dans le genre "gangster".
L'histoire en elle-même est vraiment cool - en même temps, c'est normal c'est celle de Lehane... - les personnages sont bien construits, Joe (Ben Affleck) est (je trouve) typique des héros de l'auteur. En effet, il n'est ni bon, ni mauvais, il est irlandais, le début de l'histoire se passe à Boston en plus enfin voilà, tous les ingrédients habituels de l'auteur américain sont bien présents !
En vérité, je ne peux pas dire grand chose de plus, je le conseille surtout à tous ceux qui aiment les films de gangster qui se passe dans les années 1920 et qui mettent en scène des conflits de mafieux (les éternels italiens et irlandais...), mais qui traite également de religion avec la talentueuse Elle Fanning ou encore du racisme par le biais de Graciella (Zoé Saldana). C'est un film sans grande prétention qui se regarde parce que tous ses ingrédients sont déjà connus et généralement appréciés, voilà tout !
Qui dit janvier dit retour des séries après la trêve hivernal. Je n'ai rien regardé durant les deux premières semaines, je n'avais pas le temps et je préférais garder tous mes épisodes pour mon retour chez moi.
J'ai poursuivi mes séries et j'en ai débuté une nouvelle, il s'agit de Taboo.
Franchement, il m'est impossible de vous résumer cette série tellement elle est énigmatique. Tout ce que je peux dire avec certitude, c'est que nous sommes au début du XIXè siècle et que nous suivons James (Tom Hardy). Il revient d'Afrique, son père vient de mourir et il y a un délire avec de la magie. En fait, il y a plusieurs délires, notamment un truc incestueux avec sa demi-soeur. Je ne peux vraiment rien dire parce que là où j'en suis (il faut que je voie l'épisode 5) on ne sait pas encore grand chose de réellement pertinent. Enfin il y a tout une intrigue autour de la terre dont James a hérité puisque tout le monde la convoite (les Américains comme les Anglais).
Si vous êtes fans de séries, je ne peux que vous la conseillez. Déjà c'est Tom Hardy qui joue le personnage principal - rien que cet argument devrait suffire ! - et en plus, ça se passe au début du XIXè siècle, et en plus, c'est quand même produit par Ridley Scott quoi !
Série du moment - #17 Shadowhunters (saison 1)
J'espère que vous avez passé un bon premier mois de cette année 2017 et à très bientôt pour un nouvel article !
- Littérature
Ce mois-ci a été assez riche en littérature. Lors de mon séjour à Paris début janvier, j'ai emmené deux livres, Tant que nous sommes vivants d'Anne-Laure Bondoux et Eva de Simon Liberati. Après un peu plus d'une semaine, j'ai fait un petit tour en librairie et je n'ai pas pu m'empêcher d'acheter trois Notabilia, ce qui m'a permis de ne pas tomber en panne de lecture !J'ai enchaîné avec Spring hope de Sam Savage puis j'ai terminé Lettre à ma fille de Maya Angelou - j'ai prévu de rédiger des avis pour ces livres qui m'ont beaucoup plu ! Et après, comme vous l'avez sans doute déjà vu, j'ai lu Au fond des bois de Karin Slaughter et Ressentiments distingués de Christophe Carlier. Bon, il est vrai que j'ai terminé le mois avec la lecture de Marat-Sade, une pièce de Peter Weiss, mais je ne pense pas que ça vous intéresse particulièrement !
J'ai choisi aujourd'hui de vous donner mon ressenti sur mes deux premières lectures du mois - et donc de l'année !
- Tant que nous sommes vivants d'Anne-Laure Bondoux
Voilà un petit bout de temps que je voulais le lire et puis j'ai désespéré de le trouver en poche. Voilà qu'en fin d'année 2016 je m'aperçois qu'il vient de paraître en format poche j'ai Gallimard jeunesse, ni une ni deux, il repart avec moi. Je le mets en avance dans ma valise, je décide qu'il m'accompagnera pour le voyage.Comment m'expliquer maintenant ? l'entrée dans l'histoire a été plutôt facile, j'ai bien aimé l'ambiance dès le début, le fait qu'on n'ait pas d'éléments comme un lieu prédéfini ou une période historique donnée. Voilà que nous sommes dans une ville qui abrite une usine. Auparavant prospère, cette ville est devenue triste et morose.
On rencontre ensuite Bo et Hama. Celui-ci est un "étranger" il vient du nord de la France, Hama, elle, est un membre à part entière de la ville et ce, depuis toujours. Ils travaillent tous les deux à l'usine, elle de nuit, lui de jour, et ils tombent amoureux.
Bien que ce soit un roman "d'adolescent", on ne tombe pas dans la niaiserie ou quoi, leur affection est réelle et sincère, voilà tout. L'histoire va plus loin également puisqu'un accident se produit et que leur vie s'en trouve radicalement changée.
Sans trop en dévoiler, j'ai été un peu mitigée avec la tournure des évènements, j'ai eu un peu le sentiment que l'irruption fantastique sortait un peu de nulle part. J'ai aimé la part de l'histoire avec les ombres, mais d'un autre côté, j'ai trouvé ça vraiment dommage de n'avoir aucun semblant d'explication quant à ces ombres et tout cet aspect magique dans l'oeuvre.
J'ai énormément aimé tout ce voyage initiatique, le fait que l'on suive ensuite Tsell, que la fin et le début soit si proche, mais j'ai été très déçu quand on a arrêté de suivre Hama et Bo. J'aime énormément ces personnages et j'aurais voulu savoir ce qu'ils devenaient.
Globalement, je dirais que ça a été une bonne lecture, j'ai passé un bon moment avec la plume d'Anne-Laure Bondoux et j'ai aimé me heurter à des questions dures comme l'abandon de la part d'un parent, la question du rejet envers l'étranger, celle de la guerre, de l'identité et aussi - et surtout pour moi parce que ça a été l'aspect que j'ai préféré - celui de l'handicap : que faire lorsque l'on perd un membre de son corps ?
P.S. : je ne regrette pas cette lecture rien que pour la famille qui vit dans une grotte, celle où tous les enfants portent en tant que prénoms, des numéros !
Tant que nous sommes vivants d'Anne-Laure Bondoux, éditions Gallimard.
- Eva de Simon Liberati
Pour ce livre, ça a été un achat absolument au hasard. Je n'avais jamais entendu parler de Simon Liberati, auteur français et ami de Frederic Beigbeder - je n'ai jamais eu vraiment le temps (ou l'envie?) de découvrir la plume de ce dernier non plus faut dire. Je ne sais plus à quelle occasion, mais j'avais rapidement lu le résumé d'Eva qui m'avait beaucoup intrigué, alors je me suis lancée complètement à l'aveugle.Une chose est sûre, j'ai bien fait de l'emmener à Paris avec moi. Oui, la plupart du roman se passe dans la capitale et l'auteur est vraiment précis par rapport aux arrondissements, aux rues, aux boutiques. J'ai aimé le sentiment de proximité qui s'est installé grâce au lieu où se passe l'action. Enfin bref.
Eva, c'est un roman sans en être réellement un. Disons que l'auteur a écrit un livre sur sa femme. Bon, faut dire que sa femme n'est pas n'importe qui puisqu'il s'agit d'Eva Ionesco, que je connaissais essentiellement pour avoir entendu parler de son film My little princess (2011) . Il est vrai que j'avais rapidement lu quelque chose par rapport à sa relation avec sa mère, une photographe qui n'a pas hésité à faire poser sa fille nue lorsqu'elle était une enfant - My little princess traite de sa relation plus que tumultueuse avec sa mère.
Ce livre est une ode, une sorte d'hommage sans en être un non plus. Avec du recul, je n'arrive toujours pas à me positionner avec ce livre. J'ai beaucoup aimé certains aspects et d'autres beaucoup moins. Il y a des moments où je me sentais clairement mal à l'aise - je pense par exemple aux moments où Liberati fait allusion à la pédophilie de manière presque indécente je trouve. On peut vouloir écrire un livre subversif si l'on veut, mais là, j'ai trouvé que c'était dans l'excès, une espèce de déballage de clinquant, mais du clinquant cheap.
Sans remettre en cause le talent de l'auteur - certains passages sont merveilleusement bien écrits - j'ai eu le sentiment qu'il tournait un peu en rond. Il nous raconte des évènements sans qu'ils aient une véritable importance, j'entends par là que certains passages de leur relation sont clairement inutiles pour le lecteur ! Sans s'inventer une vie, il s'agit là de savoir raconter quelque chose qui serve, il ne s'agit pas seulement d'écrire sinon tout le monde publierait ses journaux intimes !
Finalement, j'ai été déçu, en grande partie parce que certains passages m'ont ennuyé. Le style de l'auteur qui est agréable ne se dévore pas non plus, en tout cas, personnellement, ce n'est pas le genre de livre que je lis d'une traite.
Et puis surtout, se pose la question : qu'apprend-on d'important sur Eva Ionesco que l'on ne trouve pas par ses propres moyens ?
Eva de Simon Liberati, éditions Livre de poche.
J'espère avoir rapidement le temps de rattraper mon retard au niveau de mes avis littéraires, mais en attendant n'hésitez pas à jeter un coup d'œil à ceux publiés en janvier :
- Mes avis en ligne :
Le Coin des libraires - #41 Au fond des bois de Karin Slaughter Le Coin des libraires - #42 Ressentiments distingués de Christophe Carlier
Livres lus en janvier 2017.
- Cinéma
- Live By Night de Ben Affleck
Le mois de janvier a été un peu désert niveau ciné. Je n'ai rien vu si ce n'est le dernier film de Ben Affleck, Live By Night. Je n'aime pas Ben Affleck en tant qu'acteur, je suis désolée mais pour moi il est et sera toujours Daredevil ce qui n'est franchement pas un cadeau... Il n'empêche que c'est la deuxième fois qu'il s'intéresse à une œuvre de Dennis Lehane. Après Gone Baby Gone (2007), voilà qu'il s'attaque à Live By Night (fr. : Ils vivent la nuit).
Je n'ai pas lu le livre et je ne suis pas sûre que je le lirai un jour, mais quand même !
Ce que je peux en dire est que j'ai passé un bon moment. Sans être un film extraordinaire il se regarde très bien et certaines scènes sont très bien pensées, même si je n'ai pas eu l'impression qu'Affleck essayait quelque chose de nouveau dans le genre "gangster".
L'histoire en elle-même est vraiment cool - en même temps, c'est normal c'est celle de Lehane... - les personnages sont bien construits, Joe (Ben Affleck) est (je trouve) typique des héros de l'auteur. En effet, il n'est ni bon, ni mauvais, il est irlandais, le début de l'histoire se passe à Boston en plus enfin voilà, tous les ingrédients habituels de l'auteur américain sont bien présents !
En vérité, je ne peux pas dire grand chose de plus, je le conseille surtout à tous ceux qui aiment les films de gangster qui se passe dans les années 1920 et qui mettent en scène des conflits de mafieux (les éternels italiens et irlandais...), mais qui traite également de religion avec la talentueuse Elle Fanning ou encore du racisme par le biais de Graciella (Zoé Saldana). C'est un film sans grande prétention qui se regarde parce que tous ses ingrédients sont déjà connus et généralement appréciés, voilà tout !
- Série
Qui dit janvier dit retour des séries après la trêve hivernal. Je n'ai rien regardé durant les deux premières semaines, je n'avais pas le temps et je préférais garder tous mes épisodes pour mon retour chez moi.J'ai poursuivi mes séries et j'en ai débuté une nouvelle, il s'agit de Taboo.
- Taboo de Steve Knight (et Tom Hardy & son père, je crois !)
Franchement, il m'est impossible de vous résumer cette série tellement elle est énigmatique. Tout ce que je peux dire avec certitude, c'est que nous sommes au début du XIXè siècle et que nous suivons James (Tom Hardy). Il revient d'Afrique, son père vient de mourir et il y a un délire avec de la magie. En fait, il y a plusieurs délires, notamment un truc incestueux avec sa demi-soeur. Je ne peux vraiment rien dire parce que là où j'en suis (il faut que je voie l'épisode 5) on ne sait pas encore grand chose de réellement pertinent. Enfin il y a tout une intrigue autour de la terre dont James a hérité puisque tout le monde la convoite (les Américains comme les Anglais).Si vous êtes fans de séries, je ne peux que vous la conseillez. Déjà c'est Tom Hardy qui joue le personnage principal - rien que cet argument devrait suffire ! - et en plus, ça se passe au début du XIXè siècle, et en plus, c'est quand même produit par Ridley Scott quoi !
- Mes avis en ligne :
Série du moment - #17 Shadowhunters (saison 1)
J'espère que vous avez passé un bon premier mois de cette année 2017 et à très bientôt pour un nouvel article !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire