dimanche 3 mai 2020

Le Coin des libraires - L'Épouvanteur XVI : L'Héritage de L'Épouvanteur de Joseph Delaney

J’ai repoussé au maximum, j’ai attendu attendu attendu. 

Mais n’en pouvant plus d’attendre, j’ai craqué. 

Ça va, entre temps j’ai appris que Joseph Delaney écrivait une nouvelle histoire où Tom revient. Il ne sera plus le protagoniste, mais je prends ce qu’il y a à prendre ! 




Dans cet ultime volet les forces Kobalos risquent de devenir invincible si leur dieu Talkus parvient à récupérer l’intégralité de son âme. L’enjeu est donc de le vaincre avant. 

Je vais faire court pour ce tome, en particulier parce que c’est le dernier et que je ne veux spoiler personne.

J’ai juste envie de dire que je l’ai dévoré
Il y a des moments auxquels je ne m’attendais mais alors pas du tout. Je suis restée pantoise parfois, c’est dire que l’auteur arrive encore à m’étonner ! 

J’avais peur d’être déçue avec ce tome, surtout parce que c’est le dernier alors forcément la barre était haut. 
La barre était haut et il a fallu que quelques pages pour que je sois de nouveau pleinement dedans, aux côtés de mes personnages préférés. 

Ce volet est à mon sens à la hauteur de toute la saga, il y a des rebondissements, des retournements de situation, des morts, des survivants, bref l’Héritage de l’Épouvanteur conclut sur une belle note. 

La fin sonne véritablement comme la fin, et même si Tom va nous revenir par le biais de la nouvelle série (intitulée Brother Wulf en VO, sortie le 16 avril — donc je pense qu’il paraîtra d’ici l’année prochaine chez Bayard), on sent bien que ce ne sera pas pareil. 
Ce 16e tome conclut la fin d’un cycle, d’un personnage, mais non pas d’un univers.

L’Epouvanteur fait véritablement partie de ces sagas jeunesse absolument géniales ! J’ai passé des moments formidables en compagnie de ces personnages, de ces intrigues. J’ai découvert le personnage d’Alice qui est pour moi l’une des sorcières les plus badass que j’aie pu voir - avec Grimalkin évidemment ! 

Pour moi L’Épouvanteur c’est la magie de la fantasy, l’évasion, et la promesse sans cesse renouvelée que non, la fantasy n’est pas uniquement destinée aux enfants/adolescents, que les adultes aussi, ils peuvent y trouver leur compte. 

C’est toujours un peu triste de dire au revoir à des personnages que l’on a suivi durant plusieurs années. Heureusement je me console avec la nouvelle série de Joseph Delaney, Aberrations. J’ai eu la chance de recevoir le premier volet l’année dernière par Babelio, le deuxième vient de sortir, mais je n’ai pas eu le temps de me le procurer avant le confinement… ce n’est que partie remise ! 







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